15 juin 2015

Des mots d'amour ailés


« Ma grande adorée belle comme tout sur la terre et dans les plus belles étoiles de la terre que j’adore ma grande femme adorée par toutes les puissances des étoiles belle avec la beauté des milliards de reines qui parent la terre l’adoration que j’ai pour ta beauté me met à genoux pour te supplier de penser à moi je me mets à tes genoux j’adore ta beauté pense à moi toi ma beauté adorable ma grande beauté que j’adore je roule les diamants dans la mousse la plus haute que les forêts dont tes cheveux les plus hauts pensent à moi – ne m’oublie pas ma petite femme sur mes genoux – à l’occasion au coin du feu sur le sable en émeraude – regarde-toi dans ma main qui me sert à me baser tout au monde pour que tu me reconnaisses pour ce que je suis ma femme brune-blonde ma belle et ma bête pense à moi dans les paradis la tête dans mes mains. Je n’avais pas assez de cent cinquante châteaux où nous allions nous aimer on m’en construira demain cent mille autres j’ai chassé des forêts de baobabs de tes yeux les paons les panthères et les oiseaux-lyres je les enfermerai dans mes châteaux forts et nous irons nous promener tous deux dans les forêts d’Asie d’Europe d’Afrique d’Amérique qui entourent nos châteaux dans les forêts admirables de tes yeux. »

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