7 mai 2014

Splendeurs et misères

Les enfants sont couchés, M. a un CA et moi, je me prépare un thé vert, question de me calmer les gros nerfs. J'aurais pu assister ce soir à un lancement de livre, une conférence, un atelier ou à un spectacle, mais il n'y aura rien de tout cela. Des bribes d'histoires dans mon univers, de brèves pensées dans mon imaginaire. Chaque semaine, je planifie une activité qui me passionnerait, mais chaque fois, quelque chose va de travers. Je rêve d'être plus libre, mais je me sens enchaînée à ma vie de mère. Ce n'est pas que je ne l'aime pas, cette chère vie de mère, mais parfois, je la trouve amère. 

2 commentaires:

  1. Je salut ton courage pour dire cela...et je partage cette pensée moi aussi à l'occasion. Chez nous j'ai l'impression trop souvent que les enfants ont un sens, je ne sais lequel, pour tomber malade lorsque j'ai quelque chose à faire pour moi... du genre que je dois aller à la clinique à la place ou bien qu'ils ne font passer une nuit blanche quand j'ai quelque chose le lendemain... tu ravales, la pilule passe parfois de travers, mais tu as pas le choix de l'avaler...

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    1. Effectivement, quand nous osons penser à nous, les enfants tombent malades ou un imprévu survient. Pas facile, mais bon, il semble que nous devions accepter notre condition! ;)

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